Je joue ma réalité.
"KITTIWAKE"
Création 2020-21
La Compagnie Hors de l'eau bénéficie du soutien de la Région Hauts de France au titre de l'aide à la création émergente et du Département du Pas de Calais au titre de l'aide à la création et au développement de l'activité en spectacle vivant, ainsi que du Département du Pas de Calais dans le cadre du projet d'éducation artistique et culturelle.
Création 2020-21
La Compagnie Hors de l'eau bénéficie du soutien de la Région Hauts de France au titre de l'aide à la création émergente et du Département du Pas de Calais au titre de l'aide à la création et au développement de l'activité en spectacle vivant, ainsi que du Département du Pas de Calais dans le cadre du projet d'éducation artistique et culturelle.
« Depuis des milliers de siècles, la terre ne porte plus d’êtres vivants et cette pauvre lune allume en vain sa lanterne. Dans les prés, les cigognes ne se réveillent plus en poussant des cris, et l’on n’entend plus le bruit des hannetons dans les bosquets de tilleuls. Tout est froid... froid... froid... froid... Tout est désert... désert... désert... J’ai peur... peur... peur... »
Mariline se réjouit dès qu’elle se pose et déballe ses besoins,
ses rêves, ses cauchemars, ses excès, ses combats, ses amours, ses morts…
Elle aime être subversive en faisant même disparaître son nez rouge si besoin
car elle aime transgresser les codes.
Elle aime faire et être tout autre chose de ce que l’on attend d’elle. Un jeu de mot, une attitude, une envie, de Bardot à Jeanne Moreau, elle s’envole follement dans le tourbillon de la vie…
Puis il y a tout le reste, tant de reste, tout ce que Mariline ne veut pas nous dire, tout ce qu’elle nous cache...
"Le clown m'est apparu de manière intuitive et primitive.
Il me semble appartenir à un mouvement surréaliste, oscillant entre le rêve et le réel.
Il me libère du contrôle de la raison, mes émotions à travers Mariline Kittiwake sont brutes,
spontanées, parfois énigmatiques, toujours poétiques.
Ne cherchant ni à interpréter, ni à analyser, ni à juger, Mariline accepte et écoute ce qui la traverse pour vivre intensément sa relation au présent.
Je savoure le jeu de mon propre corps à travers mon identité métamorphosée.
Je ressens la simplicité qu'elle dégage comme un mélange complexe et subtil, une source de force, me donnant un regard nouveau sur l'humanité."
Mariline se réjouit dès qu’elle se pose et déballe ses besoins,
ses rêves, ses cauchemars, ses excès, ses combats, ses amours, ses morts…
Elle aime être subversive en faisant même disparaître son nez rouge si besoin
car elle aime transgresser les codes.
Elle aime faire et être tout autre chose de ce que l’on attend d’elle. Un jeu de mot, une attitude, une envie, de Bardot à Jeanne Moreau, elle s’envole follement dans le tourbillon de la vie…
Puis il y a tout le reste, tant de reste, tout ce que Mariline ne veut pas nous dire, tout ce qu’elle nous cache...
"Le clown m'est apparu de manière intuitive et primitive.
Il me semble appartenir à un mouvement surréaliste, oscillant entre le rêve et le réel.
Il me libère du contrôle de la raison, mes émotions à travers Mariline Kittiwake sont brutes,
spontanées, parfois énigmatiques, toujours poétiques.
Ne cherchant ni à interpréter, ni à analyser, ni à juger, Mariline accepte et écoute ce qui la traverse pour vivre intensément sa relation au présent.
Je savoure le jeu de mon propre corps à travers mon identité métamorphosée.
Je ressens la simplicité qu'elle dégage comme un mélange complexe et subtil, une source de force, me donnant un regard nouveau sur l'humanité."
Spectacle Tout public / à partir de 8 ans
Mariline Kittiwake : Olivia Lebon
Dramaturgie, mise en scène : Alexandre Fernandez
Scénographie, vidéo - Lumière : Alexandre Fernandez
Costume : Gaëlle Choveau
Construction scénographie : Bambi
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